Si vous êtes préoccupé par les activités de jeu d’un proche, vous voulez bien sûr l’aider. Mais ce peut être une question délicate, en particulier si cette personne ne veut pas admettre qu’elle a un problème. Rappelez-vous que la personne qui éprouve le problème est la seule qui peut cesser de jouer.
Tout ce que vous pouvez faire c’est engager la conversation – et prendre des mesures pour vous protéger.
Vous croyez que l’un de vos proches est touché? Voyez quels sont les signes avant-coureurs du jeu problématique
Informez-vous
Faites des recherches au sujet du jeu problématique pour mieux comprendre ce que vit votre proche. Tirez parti de ces ressources. Parlez à quelqu’un qui s’y connaît.
Planifiez
Établissez un plan d’action et un système de soutien avec quelqu’un en qui vous avez confiance, comme un conseiller, un médecin, un membre de la famille ou un ami – et préparez-vous à la possibilité d’une réaction négative.
Trouvez le moment
Lorsque la personne exprime des remords à l’égard du jeu, ce pourrait être le bon moment d’en parler.
Engager la conversation
- Il est préférable de parler à la première personne au moment d’aborder le sujet du jeu problématique. Des formulations comme « je crois » ou « je pense » éviteront que la personne concernée se sente attaquée et favorisera une conversation où elle sera plus à l’aise et moins sur la défensive.
- Gardez votre calme en parlant des problèmes.
- Clarifiez vos attentes. Négociez et établissez des limites strictes au sujet du jeu, des finances et des responsabilités.
Après la discussion
- Reconnaissez et soulignez les progrès et les réussites.
- Obtenez de l’aide pour vous-même. Un groupe de soutien ou un conseiller peuvent grandement vous aider à gérer les problèmes et à communiquer de façon positive et efficace.
- Protégez-vous et protégez vos finances et, au besoin, utilisez des ressources comme Credit Canada.
- Sachez que les changements positifs prennent du temps et des efforts soutenus.